Deux classes de terminale , Aménagement Paysager et Bio Industrie et Transformation, deux intervenants, Julien Cassier et Christophe Rulhes de la Cie GdRA, deux univers, textes, paroles à partir de sa biographie et écriture dans l’espace avec son corps pour une rencontre humaine et artistique.
Le GdRA clôture son travail sur la personne avec son dernier volet SUJET qui porte au plateau la personne fragile et soignée. Interpellées et enthousiasmées, après avoir vu à L’Agora de Boulazac les trois spectacles autour de ce thème, nous avons souhaité que des jeunes puissent rencontrer ces artistes et découvrir leur démarche .
Dans la poursuite de ce théâtre de portrait , de mise en récit de soi, il a été demandé aux élèves en guise de préambule de constituer des listes en écho à Bruno Latour « Un territoire ce n’est pas la carte, un territoire, c’est la liste des entités dont on dépend ».
Liste de lieux où j’ai été / Liste de mes parents, grands parents, de leurs métiers, de leurs lieux de naissance et de vie / Liste d’objets, d’objets auxquels je tiens / Liste de mes passions ordinaires / Liste de mes gestes ordinaires quotidiens / Liste de musiques, des musiques qui font mon quotidien.
Une fois ce matériau constitué, comme une forme de récit sur soi parcellaire, les élèves sont montés au plateau en expérimentant deux types d’atelier : comment dire, comment se dire, comment se raconter, comment suggérer…
L’atelier chorégraphique a permis aux élèves d’écrire avec et par le corps dans l’espace , d’explorer des gestes acrobatiques, de questionner la présence sur scène,
de théâtraliser la gestuelle ordinaire et la mise en scène de soi .
L’atelier textes, paroles et vidéo a fait l’objet de recherches et d’exercices pour prendre la parole, prendre le micro , dire, slamer un texte , être filmé, se voir, s’entendre pour raconter ce que l’on a envie de dire ici maintenant .
Ces deux ateliers ont fait émerger un vocabulaire chorégraphique et textuel qui réinjecté au plateau a permis de travailler à la mise en espace d’un texte ou d’un geste, seul ou en groupe, pour aller vers une présentation.
Et c’est ainsi que des singularités ordinaires deviennent extraordinaires …
Bottes et Charlottes
Deux classes de terminale , Aménagement Paysager et Bio Industrie et Transformation, deux intervenants, Julien Cassier et Christophe Rulhes de la Cie GdRA, deux univers, textes, paroles à partir de sa biographie et écriture dans l’espace avec son corps pour une rencontre humaine et artistique.
Le GdRA clôture son travail sur la personne avec son dernier volet SUJET qui porte au plateau la personne fragile et soignée. Interpellées et enthousiasmées, après avoir vu à L’Agora de Boulazac les trois spectacles autour de ce thème, nous avons souhaité que des jeunes puissent rencontrer ces artistes et découvrir leur démarche .
Dans la poursuite de ce théâtre de portrait , de mise en récit de soi, il a été demandé aux élèves en guise de préambule de constituer des listes en écho à Bruno Latour « Un territoire ce n’est pas la carte, un territoire, c’est la liste des entités dont on dépend ».
Liste de lieux où j’ai été / Liste de mes parents, grands parents, de leurs métiers, de leurs lieux de naissance et de vie / Liste d’objets, d’objets auxquels je tiens / Liste de mes passions ordinaires / Liste de mes gestes ordinaires quotidiens / Liste de musiques, des musiques qui font mon quotidien.
Une fois ce matériau constitué, comme une forme de récit sur soi parcellaire, les élèves sont montés au plateau en expérimentant deux types d’atelier : comment dire, comment se dire, comment se raconter, comment suggérer…
L’atelier chorégraphique a permis aux élèves d’écrire avec et par le corps dans l’espace , d’explorer des gestes acrobatiques, de questionner la présence sur scène,
de théâtraliser la gestuelle ordinaire et la mise en scène de soi .
L’atelier textes, paroles et vidéo a fait l’objet de recherches et d’exercices pour prendre la parole, prendre le micro , dire, slamer un texte , être filmé, se voir, s’entendre pour raconter ce que l’on a envie de dire ici maintenant .
Ces deux ateliers ont fait émerger un vocabulaire chorégraphique et textuel qui réinjecté au plateau a permis de travailler à la mise en espace d’un texte ou d’un geste, seul ou en groupe, pour aller vers une présentation.
Et c’est ainsi que des singularités ordinaires deviennent extraordinaires …